Dé –grès:
jeux et dureté ; plaisir et contrainte ; ancien et nouveaux, paradis où enfer, débordement où réduction.
Tirage au sort et pierre brute à travailler.
Défie de tirer les dés et s’enliser dans le chaos des ambiances et personnages qu’attendent , qu’ échappent, qui dérivent entre une réalité marquée par le terrorisme , les guerres, les bombardements, et les tireurs de toute sorte : de fortune, de balles, de bombes, des sucettes, des confettis…
Tout est valable et tout est inégal dans un jeu d’hasard. Pour et contre tout : degrés d’intentions, degrés de couleurs, degré de peur, degrés de recherches.
Et l’atelier de Dieu en plein chaos du clonage et mon espace personnel, mon univers pictural agressée et semé par la vie.
« Plus qu’une exposition , l’expression du travail d’un équipe ; où Alexis Dendiével a fait la musique a des textes sortis de la pensé contemporaine. A vous de choisir entre le chaos du monde actuel, la mélodie que vous combien, entre amour et le désespoir ; le bonheur et le malheur, entre le jeu et la gravité de la réalité. A cette espèce de chant contre la guerre,
l’agressivité, le malheur, la trahison… viennent Eric Gervais avec ses harpes éoliennes et Ives Buvard avec le mixage. Et le vidéo de Laura Perez et Nico Pigny.
Dépassée aussi par la verbomanie et les explications. J’omets les longues théories qui feront de moi une hyper branche de la peinture du lexique, et vous laisse le libre choix de regarder et commenter.
Pas trop de mots : une exposition du travail quotidien, un passage, surréaliste pour une cubaine, dans un château, et des expressions colorées du silence, celui qui gravite après un bombardement.